Street style Porto

Cette semaine, je vous raconte les anecdotes de mon voyage au Portugal fin juin: Porto & Lisbonne. Ce pays m’a surpris par sa beauté, l’accueil de ses habitants, le cout peu cher de la vie… Bref, si ça vous intéresse, il y aura de la lecture! On commence par ce street style à Porto, un petit gratouilleur de guitare de rue (c’est pas le premier que je poste, je les aime bien en général); il a des lunettes qui donnent l’air étonné (cette expression est de Norman fait des vidéos, elle est bien trouvée), et puis son style est juste trop cool :).  On commence le récit des aventures par l’avion, et les restaurants à Porto.

Tout a commencé dans l’avion. J’adore prendre l’avion ; enfin seulement pour les décollages et pour le paysage par le hublot. Je voyage rarement avec une compagnie low cost, mais à chaque fois, c’est la course avec les autres passagers pour être dans les premiers à grimper afin d’avoir un hublot. Ryanair dessert Porto depuis La Rochelle ; parfait pour une escapade de quelques jours. C’était mon premier vol avec cette compagnie. Je suis côté hublot, et avec un peu de chance et d’intuition, je suis du bon côté pour la vue sur La Rochelle. Le décollage arrive, j’adore. Un sourire niais se dessine sur mon visage exponentiellement avec l’accélération de l’avion. Bol : je suis du bon côté, jolie vue sur le pont de l’ile de Ré. Pas de bol : il y a des nuages. Là, je commence à m’ennuyer, et ce pendant 1h30… Ouf, c’est l’atterrissage. A ce moment, y’a un mouvement social qui ne se passe que dans un avion low cost : les applaudissements des passagers (??!!??). Comme si c’était une surprise qu’on arrive vivant à destination. Le pilote, je pense qu’il kiffe ces applaudissements car on entend tout à coup la petite musique qui met de l’ambiance, et que tous les passagers finissent par « olé ».

Porto

Porto
Porto
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Porto
Porto

L’aventure continue dans le taxi qui roule à 130 km/h sur une route limitée à 70. Arrivée à l’hôtel, c’est appréciable de voir que le petit jeune de l’accueil fait des efforts pour parler français. Mais il est déjà 22h, et j’ai faim. Y’a un petit bar brasserie pas loin de l’hôtel, c’est le café Java. Les prix sont à tomber par terre, mais dans le bon sens. Un coca : 1,25€. Un hamburger/frites : 4 €. C’est juste dingue ! En guise d’amuse bouche, on m’apporte des portions individuelles de pâté de thon, de sardines, et du beurre salé… Hallelujah ! Je me rue sur tout, genre je n’ai pas mangé depuis des siècles. Sauf qu’en fait, ce n’était pas un cadeau du café, tout ce que j’ai ouvert est ensuite ajouté à l’addition. Je n’avais pas compris non plus pourquoi sur la carte assez mal traduite en français, il y avait le choix entre un hamburger frites et un hamburger dans un pain. Quand je vois mon plat arrivé, je comprends : il y a tous les ingrédients d’un hamburger… mais sans pain. Peu importe, ça reste copieux.Pour le petit déjeuner du lendemain matin, on me sert un jus d’oranges pressées servi tel un cocktail, il ne manque plus qu’un petit parapluie.

Puis je découvre Porto, une ville superbe, avec un panorama incroyable

Porto